Se poser cette question, c’est déjà bon signe ! Lorsqu’un manager commence à se demander dans quelle mesure « il va se laisser entamer par les problèmes de son collaborateur », un esprit d’équipe et de collaboration s’installe, avec deux conséquences positives :
- une démarche d’amélioration continue : connaître les difficultés, c’est déjà commencer à les résoudre.
- une progression de la satisfaction des clients : dans la plupart des entreprises, la cause du stress et des difficultés trouve son origine dans la relation entre « la première ligne » et les clients.
A l’inverse, un responsable qui réagit systématiquement par : »débrouille-toi, c’est ton problème », ou « quel que soit ton souci, je n’irai pas au-delà de la limite/ l’attitude/le budget/ le temps que je me suis fixé » se place dans une zone de confort rassurante, mais qui limite considérablement le potentiel de son équipe.
Aussi l’étude publiée par Keljob mérite-t-elle notre attention : je vous invite à la découvrir ci-dessous.
Une fois ce travail mené, nous réfléchirons à cette relation ascendante qu’il convient de parvenir à mettre en oeuvre : l’intelligence collective. Bonne lecture !